La propagande de guerre et le fascisme sont En Marche

La propagande de guerre devient aujourd’hui une réalité concrète et dangereuse, trahissant la nature même de notre droit.

Mais quelle sorte de régime politique peut à ce point trahir la nature de notre droit, quand la loi doit être, par définition, l’expression de la volonté générale ?

Cette tribune revient sur cette dérive autoritaire profonde et systémique, sur fond de destruction du programme du Conseil National de la Résistance. Du déni de souveraineté au silence imposé, du pass sanitaire à la pensée interdite, le pays bascule dans un modèle où la justice sociale cède la place à la peur et à la propagande.

Résister devient non seulement légitime, mais vital. L’Histoire jugera ceux qui, aujourd’hui, sacrifient la vérité sur l’autel de l’ordre établi.

Force est de constater que les gouvernants actuels sont INDIGNES de présider à la destinée de plus de 68 millions de personnes.

2005 : première fracture et propagande de guerre

En 2005 déjà, la « démocrature » avait tordu le bras du peuple, puisqu’il avait « mal voté » », en disant NON au traité qui inscrivait dans la constitution européenne tous les mécanismes de domination de la finance, de spoliation des grands groupes industriels et, par extension, des souverainetés nationales.

Le CNR démantelé par une guerre sociale planifiée

Depuis, la classe politique française ne cesse, autant par dogmatisme que par cupidité, de dépecer le programme du Conseil National de la Résistance, initié par Jean Moulin.

La monnaie unique, la privatisation de nos services publics, la déréglementation des droits de douane, la règle des 3%, les traités dits de libre échange, le C.I.C.E, les lois travail, etc. : tous ces dispositifs ont été mis en place depuis des décennies, pour détruire à coups de masse notre système social et économique protecteur.

Que ce soit la retraite, la sécurité sociale, l’accès aux soins, l’éduction nationale, les transports, la production locale, ou la souveraineté nationale… tout ce qui constituait hier le grand projet humaniste, moderne et courageux de la résistance face au fascisme doit passer par pertes et profits.

De la fausse modération à la propagande

Les pions de l’extrême-centre (droite) d’aujourd’hui ont dévoré les modérés d’hier, ceux qui croyaient en l’alternance tranquille de la gauche et de la droite.

Ils veulent à présent cannibaliser et même criminaliser tous ceux qui ne marchent pas dans leurs pas, ceux qui ne filent pas droit, n’adhèrent pas à leur pensée unique : tous ceux que la propagande des médias mainstream qualifie d’extrêmes.

L’hôpital qui se fout de la charité.

L’arc républicain au service de la propagande

L’arme du crime ? C’est l’arc républicain : l’élément de langage rabâché jusqu’à la nausée par le pouvoir qui veut diaboliser et pulvériser la moindre parcelle d’opposition.

Pour instaurer son hégémonie, il a d’ailleurs plusieurs cordes à son arc, tous les moyens sont bons :

• caricaturer les opposants,
• mutiler et terroriser les manifestants (Gilets Jaunes, Sainte Soline, même combat),
• enfermer autoritairement les citoyens non malades tout en démolissant le système de santé,
• imposer le « Secret défense » sur des questions de santé publique,
• faire exploser la dette pour l’utiliser ensuite,
• décréter des métiers non essentiels,
• fracturer les familles avec un pass sanitaire,
• créer des citoyens de seconde zone avec les suspendus (le gel de leur diplôme a provoqué bien des drames et des suicides),
• surjouer le cinéma troupier d’un Grand Débat,
• jeter un os à ronger avec les cahiers de doléances,
• étouffer le désir d’écologie en s’asseyant sur la Convention Citoyenne,
• instrumentaliser les institutions (puisque notre Constitution, écrite par les hommes au pouvoir, ne nous protège pas des abus de pouvoir)
• et légiférer à coups de 49.3.

La stratégie du choc : outil de guerre idéologique

En lançant la grande incantation « Nous sommes en guerre », l’extrême-centre (droite) doit coûte que coûte travestir la vérité et anéantir le moindre espoir de justice dans notre société : appliquer à la lettre la stratégie du choc.

Prochaine étape : guerre civile ou internationale

nous le savons, nous le voyons : c’est de faire basculer le pays dans une économie de guerre (le modèle étasunien les fascine) et le saint graal serait, bien évidemment, de nous amener à la guerre chaude.

Guerre civile, guerre internationale : peu importe !

Envoyer les civils à la boucherie est une bonne alternative aux manifestations citoyennes. Et rebâtir un pays sur des ruines fumantes remplit tellement bien les carnets de commande des grands industriels… délocalisés.

Vers une pensée interdite

La propagande de guerre et le fascisme sont En Marche.

Nous voilà même interdits de penser, de dire les mots qui constatent, de retwitter un poste sur les réseaux sociaux… L’information par les médias indépendants citoyens est clairement dans leur viseur.

Désormais, il est complotiste de dire que la ruine du pays est organisée.

Il est antisémite de dire que l’Etat français collabore avec un gouvernement colonialiste d’extrême droite, responsable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.

Alors que ce même gouvernement bafoue la Convention de 1948, qui exige des sanctions concrètes pour prévenir un génocide.

Selon la Convention pour la prévention des génocides de 1948 – ONU, les États doivent prendre des mesures concrètes pour empêcher les crimes contre l’humanité.

Conclusion

Orwell doit se retourner dans sa tombe. Et nous, vivants, avons du mal à respirer.

Les gouvernants français crachent à la figure des peuples et du Droit international ; mais l’Histoire les jugera, bientôt.

Pour une vie digne, libre et éclairée pour tous, on lâche RIEN.